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Journées bisontines de didactique et d’épistémologie & Séminaire IREM

Jeudi 24 et Vendredi 25 mars 2022, LmB, salles 316B et 316Bbis

par Dupré Emilie - publié le , mis à jour le

Ces journées sont organisées par le Laboratoire de mathématiques de Besançon, l’IREM de Franche-Comté et la Fédération de Recherche en Education FR-ÉDUC adossée à l’INSPÉ de l’Académie de Besançon.
Le thème cette année est "histoire et enseignement des mathématiques".

 

Programme du jeudi 24 mars

 

  • 9h30 : Accueil
  • 10h00 ‑ 11h30 : Claude Merker (agrégée de mathématiques, LmB), Martin Meyer (Maître de conférences, LmB), Stefan Neuwirth (Maître de conférences, LmB), Approfondir le rapport aux textes mathématiques pour la compréhension des mathématiques et de l’histoire
  • 13h30 ‑ 15h00 : Ana Jimena-Lemes (Docteure, ATER, Université de Lille), Intégration de l’histoire des mathématiques dans la formation des enseignants
  • 15h30 ‑ 17h00 : Table ronde
  • 17h15 - 18h30 : Stefan Neuwirth (Maître de conférences, LmB), Pour une approche épistémologique de l’histoire des mathématiques
  • 19h30 : Repas convivial au centre-ville de Besançon

 

Programme du vendredi 25 mars

 

  • 9h00 ‑ 10h30 : Frédéric Métin (Professeur Agrégé, Université de Dijon), L’histoire des mathématiques en classe, quelques obstacles et quelques pistes
  • 11h00 ‑ 12h30 : Charlotte de Varent (Docteure, CREAD, SPHERE, Université Rennes 2), Impact d’une séance d’histoire des mathématiques anciennes sur l’enseignement : rencontre avec un système non-métrique
  • 14h00 ‑ 16h00 : Thomas de Vittori (maître de conférences, LmL, Université de Lille), Il était une fois... : quelle place pour l’imaginaire dans l’histoire des mathématiques en classe ? (séminaire IREM intégré au colloque)

    Résumé :
    A partir d’une expérimentation réalisée en classe et de son analyse, je propose d’interroger la place de l’imagination dans l’utilisation de l’histoire des mathématiques. Plus précisément, à la lumière de quelques travaux de psychologie, il s’agira d’articuler l’imaginaire du passé, le récit historique, et les connaissances mathématiques. En lien avec des problématiques de recherche internationales, comme le dépaysement épistémologique par exemple, j’explorerai en quoi l’histoire des mathématiques en classe comporte une dimension de "faire comme si" qui peut constituer l’un de ses moteurs auprès des élèves. Le récit (historique) offre alors potentiellement un cadre pour cet ancrage des mathématiques dans une imagination porteuse de sens et créatrice.

  • 16H15 : fin du colloque